Mord an Umweltschützer Joël Imbangola aufklären!

Aktivist Joël Imbangola Lunea (RIAO-RDC) In Mai/Juni 2019 hat Joël Imbangola (links) an Treffen zwischen Dorfbewohnern und Vertretern der deutschen Entwicklungsbank DEG teilgenommen (rechts) (© RIAO-RDC)
182.661 Teilnehmer

Wieder ein Mord! In der Demokratischen Republik Kongo wurde der Umweltschützer Joël Imbangola erschlagen. Die Organisation RIAO-RDC, die seit Monaten bedroht wird, beschuldigt einen Wachmann der Palmölfirma Feronia der Tat. Bitte fordern Sie die Aufklärung des Verbrechens.

Appell

An: Präsident der Demokratischen Republik Kongo

„Wir fordern die Aufklärung des Mordes an Joël Imbangola. Die Bedrohung der Organisation RIAO-RDC und der Einheimischen müssen aufhören.“

Ganzes Anschreiben lesen

Die kongolesische Umweltschutz- und Menschenrechtsorganisation RIAO-RDC richtet einen Appell an die internationale Öffentlichkeit: Joël Imbangola Lunea, einer ihrer Aktivisten, sei von einem Wachmann der Palmölfirma Feronia-PHC brutal zusammengeschlagen und getötet worden.

Vor dem Verbrechen seien Mitarbeiter von RIAO-RDC über Monate hinweg eingeschüchtert und bedroht worden. Hintergrund ist, dass die Organisation den Widerstand von Dorfbewohnern gegen die mutmaßlich illegale Besetzung ihres Landes durch Feronia unterstützt. RIAO-RDC beobachtet eine stetige Zuspitzung des Konflikts zwischen dem Sicherheitspersonal der Plantage und der Bevölkerung.

RIAO-RDC fordert den Präsident der Demokratischen Republik Kongo Félix Tshisekedi auf, das Verbrechen umfassend aufzuklären und die Täter zur Verantwortung zu ziehen.

RIAO-RDC fordert zudem vom Präsident und den Regierungen der drei Provinzen, in denen sich die Plantagen von Feronia befinden, die Sicherheit ihrer Mitarbeiter und der Dorfbewohner zu garantieren.

Bitte unterschreiben Sie diesen Appell.

Hinter­gründe

Hier finden Sie zusätzliche Informationen (auf Französisch):

Communiqué de RIAO-RDC | Kinshasa, 22 juillet 2019 – Un défenseur des terres violemment tué en RDC

Un membre de l’organisation congolaise de défense de l’environnement et des droits de l’homme RIAO-RDC a été brutalement tué par un agent de sécurité de la société canadienne Feronia Inc. ce dimanche 21 juillet 2019, près des plantations Boteka de la société à Bempumba, dans la Province Equateur, République Démocratique du Congo (RDC).

L’assassinat fait suite à des mois d’intimidation dirigée par la compagnie contre des membres du RIAO-RDC qui aident les communautés locales à déposer une plainte contre la société pour l’occupation de leurs terres.

JOEL Imbangola Lunea était chauffeur d’une pirogue à moteur utilisée pour le transport des personnes et des marchandises entre les villages autour des plantations de Boteka de Feronia et la ville de Mbandaka. Il a également été un défenseur de sa communauté en tant que membre du RIAO-RDC, et a joué un rôle particulièrement important dans la communication entre les communautés locales et le RIAO-RDC.

Vers 15h, le dimanche 21 juillet 2019, M. Joël se préparait à transporter plusieurs passagers et leurs bagages sur sa pirogue, lorsqu’il a été approché par M. Boketsu Ebuka (alias “Ebola”), un agent de sécurité (garde industriel – GI) travaillant dans les plantations PHC Boteka de Feronia. M. Ebuka a accusé M. Joël d’avoir transporté des conteneurs d’huile de palme volés des plantations de Feronia. Les passagers et d’autres témoins sur les lieux disent que lorsque M. Joël a nié l’accusation, M. Ebuka l’a battu et l’a finalement étranglé à mort. M. Ebuka a ensuite jeté le corps de M. Joël dans la rivière Moboyo. Il semblerait que M. Ebuka se cache depuis l’incident.

L’assassinat a lieu dans un contexte de tensions croissantes entre Feronia et les communautés locales sur les trois différents sites de plantation de l’entreprise en RDC. Le RIAO-RDC s’efforce d’apporter une solution pacifique au conflit. L’association a notamment mené un premier processus de médiation en 2017 qui a été saboté par Feronia lorsque l’entreprise s’est retirée du processus après seulement quelques semaines. En novembre 2018, RIAO-RDC a commencé à soutenir neuf communautés affectées dans un autre processus de médiation, cette fois par le biais du Mécanisme international de plaintes (ICM) des banques de développement allemande, néerlandaise et française qui financent Feronia [en plus des investissements faits par ces 3 banques de développement, d’autres banques de développement européennes financent Feronia et notamment BIO/Belgique, CDC/Grande Bretagne et AECID/Espagne].

Depuis le lancement de ce deuxième processus de médiation, RIAO-RDC a dû faire face à des efforts accrus de la part de l’entreprise pour miner son travail avec les communautés. Les dirigeants de l’entreprise ont publiquement blâmé RIAO-RDC pour le non-paiement des salaires et ont cherché à discréditer RIAO-RDC en accusant l’organisation d’être un agent des intérêts étrangers. Les membres locaux du RIAO-RDC signalent également qu’ils font face à une intimidation accrue de la part des gardes industrielles de Feronia.

Joël a accompagné le Directeur du RIAO-RDC, M. Jean-François Mombia Atuku, lors de la récente visite du panel de l’ICM dans les plantations de Boteka en mai/juin 2019. Il a signalé à M. Mombia Atuku qu’il était de plus en plus harcelé par les gardes industrielles de Feronia et qu’il était préoccupé pour sa sécurité.

Les communautés vivant à l’intérieur et à côté des plantations de Feronia sont régulièrement harcelées par les gardes industrielles de l’entreprise qui les accusent de voler les fruits du palmier à huile de la plantation, même si ces communautés récoltent des fruits du palmier dans leurs forêts communautaires et produisent de l’huile de palme depuis des générations et bien avant l’arrivée du Feronia.

RIAO-RDC a déjà informé Feronia et ses bailleurs de fonds internationaux de ce harcèlement régulier des membres de la communauté dans les plantations de Feronia et leur a demandé instamment de prendre des mesures pour y remédier. RIAO-RDC a également tenté en vain d’obtenir une enquête par les autorités locales sur un précédent incident au cours duquel un couple pygmée a été tué, après avoir été accusé par les gardes industrielles de Feronia d’avoir volé des fruits de palmiers dans les plantations de Boteka.

Le RIAO-RDC appelle maintenant les autorités compétentes de la RDC et en particulier le Gouverneur de la Province de l’Equateur à ouvrir immédiatement une enquête sur le meurtre de M. Joël. Le RIAO-RDC demande également aux organismes internationaux de défense des droits de l’homme d’enquêter sur cet incident.

RIAO-RDC tient Feronia Inc. responsable du meurtre de M. Joël. Il a été tué par un employé de Feronia, qui effectuait des tâches de routine pour l’entreprise. Au fil des ans, Feronia n’a pas pris de mesures suffisantes pour empêcher ses gardes industrielles de harceler la population locale en raison d’allégations non fondées de vol de fruits ou d’huile de palme. Feronia est également responsable du harcèlement et de l’intimidation croissants des membres du RIAO-RDC par les employés de l’entreprise, et ses cadres supérieurs sont responsables de l’incitation à des actions violentes contre le RIAO-RDC en diffusant des informations erronées sur l’organisation.

Joël laisse derrière lui sa femme et ses cinq enfants. Il était le seul soutien économique de la famille.


• Pétition et appel du World Rainforest Movement  Nous avons besoin de votre soutien urgent ! Un défenseur de terres brutalement tué par un garde de sécurité de la société canadienne d’huile de palme Feronia en RDC
• Communiqué de RIAO-RDC sur Farmlandgrab  Un défenseur des terres violemment tué par un garde de sécurité d'une compagnie canadienne d'huile de palme en RD Congo 
• Communiqué de RIAO-RDC sur Grain  Tensions violentes dans les plantations de palmiers à huile de Feronia en RD Congo
• Communiqué de RIAO-RDC sur CCFD Terre Solidaire  RDC : 9 villages portent plainte contre une banque de développement allemande
• Article de Jeune Afrique  RDC : le lobbying européen de Jean-François Mombia Atuku, le défenseur des droits des Pygmées

An­schreiben

An: Präsident der Demokratischen Republik Kongo

Seine Exzellenz Herr Präsident der Demokratischen Republik Kongo,

in Kopie an
Seine Exzellenz Herr Gouverneur der Provinz l'Equateur
Seine Exzellenz Herr Gouverneur der Provinz Tschopo
Seine Exzellenz Herr Gouverneur der Provinz Mongala

sowie in Kopie an
CDC Group Inc – Großbritannien
AECID – Spanien
PROPARCO – Frankreich
OPIC – USA
DEGinvest – Deutschland
FMO – Niederlande
BIOinvest – Belgien


Exzellenz Herr Präsident,

unseres Wissen nach hat Joël Imbangola Lunea am Sonntag, 15. Juli 2019, gegen 15 Uhr den Transport von mehreren Passagieren und deren Gepäck mit einem kleinen Boot über den Fluss Moboyo vorbereitet, als sich ihm ein Wachmann der Palmöl-Plantage der Firma Feronia-PHC in Boteka näherte. Der Security-Guard, dessen Identität bekannt ist, beschuldigte Joël Imbangola Lunea, Behälter mit Palmöl von der Plantage zu transportieren. Laut Aussagen der Passagiere und weiterer anwesender Zeugen hat der Wachmann auf Joël Imbangola Lunea eingeschlagen, als dieser den Vorwurf zurückwies, ihn schließlich zu Tode gewürgt und die Leiche in den Moboyo geworfen. Unserer Kenntnis nach hält sich der Wachmann versteckt.

Joël Imbangola Lunea war Mitarbeiter der kongolesischen Umwelt- und Menschenrechtsorganisation RIAO-RDC. Vor dem Verbrechen sind Mitarbeiter von RIAO-RDC und Dorfbewohner, die von den Plantagen der Firma Feronia-PHC betroffen sind und die mit RIAO-RDC zusammenarbeiten, über Monate hinweg eingeschüchtert und bedroht worden. RIAO-RDC unterstützt Gemeinden, die im November 2018 ein Schlichtungsverfahren im Rahmen des Independent Complaints Mechanism (ICM) bei den Entwicklungsbanken von Deutschland, den Niederlanden und Frankreich gegen die Besetzung ihres Landes durch die Firma angestrengt haben. Diese Entwicklungsbanken haben wie jene aus Spanien, Belgien, Großbritannien und den USA Feronia Finanzmittel gewährt.

Während der zentrale Punkt des Schlichtungsverfahrens die illegale Besetzung des Landes der Gemeinden durch Feronia-PHS ist, erfahren die Beschwerdeführer eine stetige Zuspitzung des Konflikts zwischen dem Sicherheitspersonal der Plantage und der Bevölkerung. Die Beschwerdeführer betonen, dass unbegründete Anschuldigungen des Diebstahls von Palmölfrüchten und des Abtransports von Palmöl regelmäßig Auslöser von Konflikten und Bedrohungen durch das Sicherheitspersonal sind.

Die Tötung des RIAO-RDC-Aktivisten steht im Zusammenhang mit derartigen unbegründeten Vorwürfen des Abtransports gestohlener Palmölfrüchte. Joël Imbangola Lunea war der Fahrer eines Motorboots, das zum Transport von Personen und Waren zwischen den Dörfern rund um die Feronia-Plantage in Boteka und der Stadt Mbandaka eingesetzt wurde. Er war zudem Aktivist für seine Dorfgemeinschaft und Mitglied von RIAO-RDC.

Exzellenz Herr Präsident, wir bitten Sie sicherzustellen, dass die Täter dieses brutalen Verbrechens zur Verantwortung gezogen werden. Wir bitten Sie:

- unverzüglich und mit Nachdruck Ermittlungen zum Tod von Joël Imbangola Lunea einzuleiten.
- sicherzustellen, dass die Täter dieses brutalen Verbrechens zur Verantwortung gezogen werden.
- den Gouverneuren der drei Provinzen, in denen Feronia-PHC seine umstrittenen Palmöl-Plantagen betreibt, und der Firma nachdrücklich klarzumachen, dass die Organisation RIAO-RDC in Sicherheit arbeiten muss. Ihre Sicherheit muss garantiert werden und Bedrohungen und Einschüchterungen von RIAO-RDC-Mitgliedern und Einheimischen, die von RIAO-RDC unterstützt werden, müssen sofort aufhören. Diese Atmosphäre von Bedrohungen und Einschüchterungen schafft den Boden für Gewalt und Brutalität, die Joël Imbangola Lunea das Leben gekostet haben.

Hochachtungsvoll

5-Minuten-Info zum Thema: Palmöl

Die Ausgangslage – Regenwald im Tank und auf dem Teller

Mit 66 Millionen Tonnen pro Jahr ist Palmöl das meist produzierte Pflanzenöl. Inzwischen dehnen sich die Palmölplantagen weltweit auf mehr als 27 Millionen Hektar Land aus. Auf einer Fläche so groß wie Neuseeland mussten die Regenwälder, Mensch und Tier bereits den „grünen Wüsten“ weichen.

Der niedrige Weltmarktpreis und die von der Industrie geschätzten Verarbeitungseigenschaften haben dazu geführt, dass Palmöl inzwischen in jedem zweiten Supermarktprodukt steckt. Neben Fertigpizza, Keksen und Margarine begegnet uns Palmöl auch in Körpercremes, Seifen, Schminke, Kerzen und Waschmitteln.

Was kaum einer weiß: Mittlerweile gehen in der EU 61 % des Palmöls in die Energieerzeugung51 % (4,3 Millionen Tonnen) für die Produktion von Biodiesel sowie 10 % (0,8 Millionen Tonnen) in Kraftwerke für die Strom- und Wärmeerzeugung.

Deutschland importiert 1,4 Millionen Tonnen Palmöl und Palmkernöl: 44% der Palmölimporte (618.749 t) wurden für energetische Zwecke eingesetzt, davon 445.319 t (72 %) Palmöl für die Produktion von Biodiesel sowie 173.430 t (28 %) für die Strom- und Wärmeerzeugung.

Die fehlgeleitete erneuerbare Energien Politik von Deutschland und der EU ist damit eine wichtige Ursache der Regenwaldabholzung. Die 2009 von der EU beschlossene Erneuerbare Energien Richtlinie schreibt die Beimischungspflicht von Agrosprit in Benzin und Diesel vor.

Immer wieder forderten Umweltschützer, Menschenrechtler, Wissenschaftler und zuletzt auch die EU-Parlamentarier, Palmöl für Biosprit und Kraftwerke ab 2021 auszuschließen – vergeblich. Am 14. Juni 2018 haben die EU-Mitgliedsländer beschlossen, das tropische Pflanzenöl als „Bioenergie“ weiterhin bis 2030 zuzulassen.

Die Alternativen: Bitte lesen Sie die Inhaltsangaben auf den Verpackungen und lassen Sie palmölhaltige Produkte im Laden stehen. An der Zapfsäule haben Sie keine Wahlmöglichkeit, hier sind das Fahrrad und der öffentliche Transport die Lösung.

Die Auswirkungen – Waldverlust, Artentod, Vertreibung, Erderwärmung

Ölpalmen gedeihen nur in den feucht-warmen Tropen nahe den Äquator. In Südostasien, Lateinamerika und Afrika werden Tag um Tag riesige Regenwaldflächen gerodet und abgebrannt, um Platz für die Plantagen zu schaffen. Der in der Urwaldvegetation und den Böden gespeicherte Kohlenstoff wird dabei freigesetzt. Riesige Mengen klimaschädlicher Gase in die Atmosphäre. CO2- und Methanemissionen sorgen dafür, dass der aus Palmöl produzierte Biosprit drei mal so klimaschädlich ist wie Treibstoff aus Erdöl.

Doch nicht nur das Klima leidet: Mit den Bäumen verschwinden seltene Tierarten wie Orang-Utan, Borneo-Zwergelefant und Sumatra-Tiger. Kleinbauern und Indigene, die den Wald über Generationen bewohnen und beschützen, werden oft brutal von ihrem Land vertrieben. In Indonesien stehen mehr als 700 Landkonflikte in Zusammenhang mit der Palmölindustrie. Auch auf sogenannten „nachhaltig bewirtschafteten“ oder „Bio“-Plantagen kommt es immer wieder zu Menschenrechtsverletzungen.

Wir Verbraucher bekommen von all dem wenig mit. Unser täglicher Palmölkonsum hat jedoch auch für uns persönlich direkte negative Auswirkungen: In raffiniertem Palmöl sind große Mengen gesundheitsschädlicher Fettsäureester enthalten, die das Erbgut schädigen und Krebs verursachen können.

Die Lösung – Tank-und-Teller-Revolution

Nur noch 70.000 Orang-Utans streifen durch die Wälder Südostasiens. Die EU-Biospritpolitik bringt die Menschenaffen immer weiter an den Rand des Aussterbens. Um unseren baumbewohnenden Verwandten zu helfen, müssen wir den Druck auf die Politik erhöhen. Doch auch im Alltag lässt sich viel bewegen.

Diese einfachen Tipps helfen, Palmöl zu erkennen, zu meiden und zu bekämpfen:

  1. Selbst kochen, selbst entscheiden: Mandel-Kokos-Birnen-Kekse? Kartoffel-Rosmarin-Pizza? Frische Zutaten, gemixt mit ein bisschen Fantasie, stellen jedes (palmölhaltige) Fertigprodukt in den Schatten. Zum Kochen und Backen eignen sich europäische Öle aus Sonnenblumen, Oliven, Raps oder Leinsamen.
  2. Kleingedrucktes lesen: Auf Lebensmittelpackungen muss seit Dezember 2014 angegeben werden, wenn ein Produkt Palmöl enthält. In Kosmetik-, Putz- und Waschmitteln versteckt sich der Regenwaldfresser hingegen hinter einer Vielzahl chemischer Fachbegriffe. Per Internetrecherche lassen sich leicht palmölfreie Alternativen finden.
  3. Der Kunde ist König: Welche palmölfreien Produkte bieten Sie an? Wieso verwenden Sie keine heimischen Öle? Nachfragen beim Verkaufspersonal und Briefe an die Produkthersteller lassen Firmen um die Akzeptanz ihrer Produkte bangen. Der öffentliche Druck und das gestiegene Problembewusstsein haben schon einige Produzenten zum Verzicht auf Palmöl bewegt.
  4. Petitionen und Politikerbefragungen: Online-Protestaktionen üben Druck auf die Politiker aus, die für Biosprit und Palmölimporte verantwortlich sind. Haben Sie bereits alle Petitionen von Rettet den Regenwald unterschrieben? Auf abgeordnetenwatch.de kann jeder die Bundestagsabgeordneten mit den Folgen der Biospritpolitik konfrontieren.
  5. Laut werden: Demonstrationen und kreative Straßenaktionen machen den Protest für Menschen und Medien sichtbar. Dadurch wird der Druck auf die politischen Entscheidungsträger noch größer.
  6. Öffentlich statt Auto: Wenn möglich zu Fuß gehen, mit dem Fahrrad fahren oder öffentliche Verkehrsmittel nutzen.
  7. Wissen und Wissen weitergeben: Wirtschaft, Handel und Politik wollen uns glauben machen, Biosprit sei klimafreundlich und Palmölplantagen könnten nachhaltig sein. Regenwald.org informiert über die Folgen des Palmölanbaus. Der kostenlose Regenwald Report kann an Freunde weitergegeben oder in Schulen, Arztpraxen und Bioläden ausgelegt werden.

Die Reportage Asimetris

Die Reportage Asimetris zeigt, warum die Menschen zu den Verlierern des Palmölbooms gehören. Sie können den Film in unserem Shop kaufen.

Bestellen Sie jetzt unseren Newsletter

Bleiben Sie mit unserem Newsletter am Ball – für den Schutz des Regenwaldes!